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a propos ( 20 février, 2009 ) assalam aleykoum wa rahmatoullahi wa barakatouhou, marahban bikoum allah dit : » il n’appartient pas à un croyant ou à une croyante, une fois qu’allâh et son messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir » sourate 33, aya 36. d’après abou houréïra (radhia allahou anhou) le messager d’allah a dit : « quiconque dissipe pour un croyant un tourment parmi les tourments de ce monde, allah dissipera pour lui un tourment parmi les tourments du jour du jugement ; quiconque facilite à une personne en difficulté, allah lui facilitera dans ce monde et dans l’au-delà ; quiconque cache les défauts d’un musulman, allah cachera ses défauts dans ce monde et dans l’autre ; et allah ne cesse d’aider le serviteur tant que celui-ci aide son frère. » rapporté par mouslim . http://www.dailymotion.com/video/x23dzo bismillah assalam aleykoum wa rahmatoullahi wa barakatouhou http://www.quranexplorer.com/quran/ d’après mou’awiya (qu’allah l’agrée) : le prophète (prière et bénédiction d’allah sur lui) a dit: « celui à qui allah veut du bien, il lui donne la compréhension de la religion » (al albany dans sahih targhib wa tarhib) mohamed ibn sirin , qu allah lui fasse misericorde, a dit, cette science est une religion , voyez de qui vous puisez votre religion. rapporte par muslim, voir sahih muslim , edition dar el fikhr, tome 1 page 4. l’imâm ahmad ibn hanbal a dit: « les gens ont plus besoin de la science [al-'ilm] que de nourriture et de boisson, car ils n’ont besoin de la nourriture et de la boisson que deux à trois fois par jour, alors qu’ils ont besoin de la science à chaque instant. » az-zariyat – 51 .55. et rappelle; car le rappel profite aux croyants. وَذَكِّرْ فَإِنَّ الذِّكْرَى تَنفَعُ الْمُؤْمِنِينَ shaykh moqbil ibn hady al wadi’y al yamani rahimahou allah a dit : « notre da’wa et notre ‘aqida est plus chère à nos yeux que nous-mêmes, nos biens et nos progénitures. ainsi nous ne sommes pas prêts à la laisser tomber pour de l’or ni pour de l’argent.. nous disons que cela est tel qu’aucun ne peut espérer nous désintéresser de notre da’wa , ni penser qu’il lui est possible de nous l’acheter pour des dinars ou des dirhams. car les politiques savent déjà cela de nous, et ils ont désespéré de nous l’acheter par des hautes positions sociales ou des biens matériels » barakalaoufikoum assalam aleykoum wa rahmatoullahi wa barakatouhou (l administration du blog , s escuse face à toutes les publicites incrustées involontairements sur le blog, nous vous deconseillons fortement de cliquer sur les liens, allah mousta ‘an)))) publié dans presentation du blog par an'naba commentaires (2) -- ( 4 juillet, 2010 ) apres la naissance apres la naissance… on a interrogé shaikh muhammad nasir din al-albani (ecouter le shaikh) : question : shaikh le hadith qui parle de l’adhan dans l’oreille du nouveau-né est faible, alors pouvons-nous l’utiliser ? réponse : non question : quel est votre conseil pour les frères qui ne savent peut être pas que vous avez déclaré le hadith faible. réponse : mon conseil est un exposé pour les gens. nous disions auparavant qu’il était légiféré de faire l’adhan dans l’oreille du nouveau-né, tout en sachant que le hadith disant qu’il fait partie de la sunna de faire l’adhan dans l’oreille du nouveau-né est rapporté dans les sunan de at-tirmidhi avec une chaîne de transmission faible. mais, (comme il est connu dans la science du hadith) nous avons appuyé ce hadith par d’autres, et nous nous sommes appuyés sur le livre de l’imam ibn qayim tuhfatul wadud fi ahkam al-mawlud. ibn qayim a renforcé le hadith en s’appuyant sur un livre de l’imam al-bayhaqi : shu’ab al-iman. et bien que le hadith soit faible, je pensais que sa faiblesse n’était pas très importante, et je me suis appuyé sur la transmission d’abu rafi ‘ pour renforcer le hadith. a cette époque, je ne disposais pas du livre shu’ab al-iman, ni publié ni en manuscrit. et bien que je sois dans la maktaba dhahirya qui contient des milliers de livres, celui-ci du hafidh al-bayhaqi n’y était pas comme dans la plupart des bibliothèques du monde. mais aujourd’hui, shu’ab al-iman a pu être publié et il est très profitable car il contient beaucoup de hadith qui ne sont pas rapporté dans les « six livres » (al-bukhari, muslim, abu dawud, at-tirmidhi, ibn majah) ou ailleurs. parmi ceux-ci, le hadith sur lequel je m’appuyais d’après ibn qayim pour renforcer le hadith d’abu rafi’ rapporté dans sunan at-tirmidhi. mais, dans la chaîne de ce hadith que rapporte l’imam al-bayhaqi, il y a deux transmetteurs qui sont considérés comme menteurs. il m’est donc apparu que l’imam ibn qayim a été un peu complaisant en disant seulement que le hadith était faible. il aurait dû dire qu’il était très faible, et dans ce cas il n’est pas permis à celui qui s’intéresse à la science du hadith d’utiliser un hadith très faible pour appuyer un autre hadith faible. c’est pourquoi, nous ne pouvons que revenir sur ce que nous avons dit de ce hadith dans sunan at-tirmidhi (faible mais il trouve un appui ailleurs), d’après le hadith rapporté dans shu’ab al-iman qui est très faible. ainsi le hadith d’abu rafi’ reste faible. et puisqu’il ne nous est pas permis de mettre en pratique le hadith faible, nous sommes revenus sur ce que nous disions auparavant du caractère sunna ou légiféré de l’adhan dans l’oreille du nouveau-né. (il n’est donc pas légiféré de faire l’adhan dans l’oreille droite du nouveau-né, encore moins l’iqama dans l’oreille gauche qui est rapporté dans un hadith inventé ( mawdhu’)). shaikh muhammad ibn salih al-‘uthaymin dit dans sharh al-mumti’ (3/431-437) : al-‘aqiqa al-‘aqiqa (le sacrifice) est une sunna, c’est un devoir du père, mais si le père est absent, cela reste une sunna à faire par la mère. il faut en être capable, car si les obligations ont pour condition préalable la capacité de les accomplir, cela est plus évident encore pour les choses recommandées. c’est pourquoi nous ne disons pas au pauvre d’emprunter pour faire sacrifier. et dans le cas où un salarié à un enfant au milieu du mois et que son salaire n’est pas arrivé, lui disons-nous d’emprunter ou d’attendre ? il est meilleur qu’il attende, car il se peut qu’il lui arrive quelque chose et qu’il ait besoin de cet argent (maladie, accident…). il vaut lieux qu’il attende s’il compte recevoir de l’argent bientôt, et il peut sacrifier le 7, 14 ou 21ème jour. [shaikh al-albani précise que le sacrifice doit être fait le 7ème jour mais qu’il peut être repoussé au 14 et 21ème jour si on ne peut pas le faire avant, car le prophète a dit « on sacrifie le 7ème jour » et dans d’autres hadith sont cités le 14 et 21ème jour, donc le temps est spécifié et on ne peut dépasser cela que si on a une excuse légale. (442, silsila al-huda wa nur) la sunna est que l’on sacrifie deux moutons pour un garçon et un seul pour une fille, comme cela a été rapporté dans la sunna. il est préférable que les deux moutons soient le plus proches possible en âge, en taille, en poids, et plus ils seront proche, meilleur cela sera. et si on ne trouve (pour un garçon) qu’un seul mouton, cela est suffisant, mais si allah a permis (à cet homme) d’avoir deux moutons, cela est meilleur. [sahikh al-albani précise qu’il n’y a pas de mal à sacrifier plus d’un mouton pour une fille, mais cela vient d’une ignorance des gens qui pensent que al-‘aqiqa est un repas auquel on invite les gens, ce qui est faux, il n’y a rien de cela dans la sunna, c’est un sacrifice]. (209, silsila al-huda wa nur) il fait partie de la sunna que le sacrifice soit fait le 7ème jour, ainsi si l’enfant nait samedi, on sacrifiera vendredi, c’est-à-dire un jour avant le jour de sa naissance. la sagesse derrière cela est qu’au septième jour, la semaine se termine, l’enfant a vécu tous les jours de la semaine et on espère qu’il continuera à vivre. question : si l’enfant meurt avant le 7ème jour, le sacrifice est-il toujours nécessaire ? car le prophète a dit : « on sacrifie le 7ème jou